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Les rencontres se déroulent selon 2 types de sessions :
- les plénières et tables rondes, qui ont lieu dans l'auditorium de 467 places.
- des ateliers et des forums dans des salles à capacité plus limitée.

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Programme détaillé

Jeudi 16 octobre 2008

8h30/9h30 Accueil des participants [Déplier/Replier+ d'infos]

Un buffet-petit-déjeuner vous sera servi dans le hall de la bourse du travail de Bobigny. Nous profiterons de ce moment pour vous donner vos badges d'accès. Dans cet espace, une table sera mise à votre disposition pour que vous puissiez y mettre votre documentation et consulter celle des autres participants.

9h30/10h45 Plénière d’ouverture 1 [Déplier/Replier+ d'infos]

  • Madame Catherine PEYGE, Maire de Bobigny
  • Monsieur Claude BARTOLONE, Président du Conseil Général de la Seine-St-Denis
  • Monsieur Jean-Marie LE GUEN, Adjoint au Maire de Paris chargé de la Santé
  • Madame Béatrice STAMBUL, Présidente de l’AFR
  • Monsieur Gerry STIMSON, Directeur de l'International Harm Reduction Association

11h15/12h45 Plénière d’ouverture 2 [Déplier/Replier+ d'infos]

  • Monsieur Valère ROGISSART, Président des Rencontres
  • Madame Roseline BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé

14h15/16h15 Ateliers et forums simultanés

Atelier 1 : Réduction des risques et territoires, comment faire reculer le désert ? [Déplier/Replier+ d'infos]

Identifier les difficultés spécifiques d’intervention hors des grandes villes et agglomérations, les difficultés et contraintes pour installer des structures. Confronter des représentants de l’administration déconcentrée et des acteurs de la RdR. Une perspective d'action spécifique en milieu rural: la possibilité de s'appuyer sur les interventions en milieu festif.

Intervenants:

  • Dr Marie-Laure FERIAL, DRASS du Limousin
  • Mme Viviane MARTIN, CMS de Bar sur Aube
  • Mme Nathalie COLLET, CMS de Bar sur Aube
  • M. Yves CHEVALIER, Sauvegarde de l'enfance de l'Aube
  • M. Thierry CHARLOIS, FESU


Atelier 2 : Réduction des risques et Hépatite C [Déplier/Replier+ d'infos]

VHC – un virus résistant – aux infections précoces et toujours trop nombreuses. Quelle représentation des prises de risques ? Comment appréhender le diagnostic, le traitement, l'observance... Quels moyens et outils disposons-nous aujourd'hui pour travailler au mieux ?
A travers cet atelier nous souhaitons aborder l’hépatite C chez les usagers de drogues sous plusieurs angles qui nous semblent incontournables. L’infection au virus de l’hépatite C se fait, nous avons pu le remarquer, lors des premières expériences d’injection (notamment chez les primo-injecteurs).

Il y a donc tout un aspect de prévention non négligeable à soulever et sur lequel il faut insister pour imaginer comment l’on pourrait intervenir au maximum en amont des pratiques à risque et appréhender la représentation des usagers sur les prises de risques.
Intervention prévue d'un usager actuellement sous traitement INF qui parlera de l'évolution de ses pratiques et de la perception de son hépatite.

La question du traitement hépatite mais aussi des traitements de substitution et des traitements complémentaires croisée avec celle de la prévention se pose bien évidemment. Le pharmacien est un interlocuteur privilégié parce qu’il est au croisement de ces différents aspects.
Intervention de Grégory Pfau, pharmacien officinal et chargé de mission ASUD

Nous voulons aussi insister sur un point, celui du dépistage précoce et sur l’élaboration du diagnostic
Intervention prévue d'Elisabeth Avril ou du moins de quelqu'un de Gaïa

Pour finir et afin que l’usager sous traitement puisse être le plus observant il faut qu’un certain nombre de conditions soient réunies et nous voudrions s’arrêter un moment sur l’hébergement avec deux expériences différentes :

  • MdM avec la mission squat qui s'appuie sur l’hébergement collectif.
  • Stéphanie Charluet et Alexandra Lambourdière de l'association PROSES qui cible son projet sur l’hébergement individuel

Atelier 3 : Reconnaissance de la place des usagers : comment concilier communautaire et consultation ? [Déplier/Replier+ d'infos]

Le chemin de la RdR - née de l'expression des usagers et de l'urgence - croise aujourd'hui celui du médico-social. Là où l'histoire de la réduction des risques dit "agis avec les usagers", le médico-social, lui, dit "consultes-les". Ces deux messages sont-ils convergents, compatibles, et que veut dire "consulter"? Démagogie? Démocratie? Quel espace authentique possible ?

Atelier 4 : La question des mineurs : entre prévention et réduction des risques [Déplier/Replier+ d'infos]

Un des principes de base de la R.D.R. est d'accompagner la gestion des usages à moindre risque et non de viser l'arrêt immédiat des substances psycho-actives.
Ce positionnement au regard des mineurs, pose des questions particulières, d'éthique et de responsabilité lors de nos interventions. Questions cruciales par exemple lorsqu’ils demandent du matériel d'injection ou un accompagnement à l'injection ou des conseils au moment des primo-consommations Question d’actualité aussi lorsque nous sommes en présence d’usages massifs de cannabis et/ou d’alcool (binge drinking), ou de situations à haut, risques de très jeunes usagers en fugue.
Sur le plan légal, la responsabilité des intervenants est à interroger au regard par exemple de la protection de l'enfance, à interroger aussi dans la nécessaire lutte contre les facteurs d'aggravation des risques liés notamment à la précocité des usages, aux contextes de désocialisation, etc.
Ainsi, sur le plan éthique etthéorique, des interventions qui permettent d'accompagner à moindre risque des consommations chez les mineurs ne peuvent faire l'économie de la spécificité liée à l'âge des personnes concernées, à savoir l'adolescence et donc de la capacité de ces  personnes à faire des choix "éclairés" ?
En effet, la dangerosité des conséquences liées aux usages tient entre autre à cette recherche d'accès immédiat au plaisir.
Les expérimentations se conjuguent alors, avec des conduites à risques, la recherche des limites, le besoin de distanciation des normes sociétales et d'identification aux nouvelles tendances culturelles, à la quête de sens et enfin pour un certain nombre d'entre eux à des facteurs personnels de vulnérabilité.
Ainsi, pour les acteurs de la Réduction Des Risques, des questions de confiance très complexes se posent pour conduire au mieux les stratégies d'interventions, quelle « inconditionnalité » dans les accueils de ces jeunes quel seuil adapté d’exigences ?
Nécessaire confiance à créer avec un mineur, et nécessaire confiance de la société lorsqu'elle mandate des actions de RdR. Comment donc poser les bases éthiques, théoriques, pratiques, dans les interventions en RdR auprès des mineurs ? Telles seront les questions réfléchies dans cet atelier proposé par l’ANITeA ?

Intervenants :

  • SPIRITEK Ugo d'Alessandro
  • PREV' EN' TEUF Sébastien Petit
  • ANITeA Jean Luc Arnaud – Dr Alain Morel
  • EMERGENCE Dr. Olivier Phan
  • Animation : Martine LACOSTE (ANITeA) et Karl CERNY (ADNSEA)

Forum 1 : La drogue, la taule et toi ? [Déplier/Replier+ d'infos]

Intervenir en prison sur des questions d’usage de drogues dans un pays prohibitionniste ne va pas de soi. Certes, les drogues y sont présentes mais y réduire les risques semble parfois compliqué. Quelles expériences, quels murs et quelles libertés peut-on prendre en milieu pénitentiaire aujourd’hui ?

Intervenants:

  • Benoit DELAVAULT, chef de service Sida paroles
  • Virginie MAZZA, Assistante sociale CAARUD Réduire les risques à Montpellier
  • Mathieu PASTINI, ASUD Mar-Say-Yeah
  • Sandra ESSID, AIDES
  • Jean-Baptiste SELLERET, AFR

16h45/18h15 Table ronde : Drogues et libertés [Déplier/Replier+ d'infos]

En présence d’un juriste, d’un professionnel du soin, d’un chercheur en sciences sociales, d’un représentant des associations de familles et d’un représentant des usagers de drogues, nous proposons d’ouvrir le débat sur une question éthique souvent abordée de manière polémique : consommation de drogues, représentations sociales et liberté individuelle .
Nous proposons de croiser des points de vue différents afin de cerner les alliances possibles, les points de ruptures et les facteurs d’incompréhension. Il s’agit aussi d’inviter à débattre des représentants qui n’ont pas l’habitude de se croiser ni d’échanger, ailleurs que dans des lieux d’affrontements où l’on organise le chaos pour mieux servir des enjeux politiques à des fins répressives.

Animation : Christine Calderon et Maryse Bellucci-Dricot

Intervenants:

  • Christian SAOUT, ex-président de AIDES, Juriste
  • Mathieu POTTE-BONNEVILLE, Philosophe
  • Pierre CHAPARD, ASUD, représentant des usagers
  • Lionel DANY, psychosociologue
  • Serge HEFEZ, psychiatre

Vendredi 17 octobre 2006

9h30/10h30 Les EGUS 4 [Déplier/Replier+ d'infos]

L’éducation à la santé en matière de drogues a-t-elle un sens ? S’agit-il de prévenir l’usage, de réduire les risques ou d’apprendre à se droguer ?
Un représentant d'ASUD fera la synthèse des 4èmes Etats Généraux des Usagers de drogueS qui se sont tenus 2 jours plus tôt.

10h45/12h45 Ateliers et forums simultanés

Atelier 5 : Lever les freins à l’insertion professionnelle des usagers de drogues [Déplier/Replier+ d'infos]

Penser le travail à la carte. Coordonner les acteurs du soin, de la RDR et ceux de l’insertion. Valoriser la participation sociale des usagers et leur implication dans les dispositifs de travail. Agir en amont des dispositifs de droit commun.

      • A partir d’expériences françaises et européennes en matière d’insertion présentées par Drogues et Société, ESPACE et FIRST, exposer des interrogations que se posent les associations sur l’insertion professionnelle possible pour les usagers de drogues : quelles collaborations entre acteurs du soin et acteurs de l’insertion, quelles dérogations, innovations (en terme de durée, fréquence du travail sur emplois aidés, alternance) peut-on proposer pour travailler avec ces publics spécifiques ? Comment appréhender, renforcer le rôle des usagers dans les dispositifs d’insertion ? Comment sensibiliser, former ou soutenir les intervenants en insertion ?
      • Identification des freins à la mise en œuvre des projets, en discussion avec les intervenants sélectionnés et la salle
      • Formulation de recommandations

Intervenants :

      • Dr Brigitte JEANVOINE, CG94
      • Yvan GRIMALDI, Aurore
      • Isabelle JEANNES, DASES de Paris
      • Béatrice MEYER, bureau RMI de Paris
      • Claude GUILBERT, Jeunesse et Sport
      • Florian RUYMEN, Modus Vivendi et Christian « jobiste » de l'association
      • Philippe LAGOMANZINI, Drogues et Sociétés
      • Valérie DORSO, Espace

Atelier 6 : Peut-on encore parler de drogues dans les CAARUD ? [Déplier/Replier+ d'infos]

Avec l'institutionnalisation des CAARUD et la précarité des usagers, demandeurs de services sociaux qui ont tout à perdre à parler de produits psycho-actifs, cette question, provocatrice à première vue, mérite d'être posée. L'atelier abordera l'importance de parler des produits et de leurs usages dans les CAARUD, les résistances, puis les stratégies développées.

Intervenants :

  • Fabienne POURCHON, EMERGENCES 77
  • Yann HERVIEU, LOVER PAUSE
  • Ahmed NIDAÏ, VISA 94
  • Eric SCHNEIDER, ACCES

Atelier 7 : Expériences innovantes et réponses alternatives pour toucher de nouveaux publics [Déplier/Replier+ d'infos]

La réduction des risques c’est dessinée au fil du temps, partant de l’expérience et de l’implication d’usagers vers leur pairs et leur milieu culturel, en s’appuyant sur des savoirs- faire. Ce qui a favorisé les bénéficiaires à être acteurs à part entière de leur santé et de la politique de RdR. Qu’ont-ils apportés sein du dispositif de santé ? En sont-ils le chaînon indispensable ?

Intervenants :

  • Roberto Bianco, Mission Squat et Delphine Terlizzi, La Petite Roquette : quelle contribution des populations dans l'élaboration d'un dispositif sentinelle et opérationnel pour soigner & témoigner des publics et pratiques émergents.
  • Nicoles Ducros, le Tipi.
  • Phillipe Dupond, psychologue : les consultations jeunes consommateurs : comment, dans sa pratique, rester ouvert à des populations et pratiques émergentes.
  • Thierry CHARLOIS : la professionnalisation des acteurs communautaires à partir de l'expérience de Techno+.

Atelier 8 : Santé des usagers : innovations et expérimentations pour l'accès au soins en RdR [Déplier/Replier+ d'infos]

La santé des usagers est pour tous les acteurs de la RDR une priorité.
En effet les dommages collatéraux de santé liés aux usages de substances psycho actives, aux conditions de consommation et de vie des usagers sont malheureusement les facteurs d’aggravation les plus péjoratifs dans leurs parcours.
L’engagement premier dans la RdR s’est d’ailleurs scellé lors des années SIDA, tant pour la prévention de la transmission que pour l’aide aux personnes atteintes. Aujourd’hui encore, dans les stratégies les acteurs recherchent  toujours la proximité avec les  usagers,  même dans les situations de très grande marginalité. C’est actuellement la même volonté qui anime tous les acteurs pour favoriser la guérison des personnes atteintes par le VHC.
Compte tenu du contexte difficile d’accès aux lieux de soin de droit commun et parfois spécialisés et du déni fréquent des questions de santé par les usagers; les acteurs de la RdR se doivent d’innover et d’inventer en permanence.

C’est ainsi qu’au regard des problèmes somatiques, de santé mentale ou d’accès aux soins spécialisés, des acteurs de la RdR viendront témoigner dans cet atelier des réflexions qui ont porté leurs innovations et expérimentations.

Intervenants :

  • Dr Frédérique DROGOUL, Médecins du Monde
  • Martine BIDAUD, Infirmière CSST Poitiers
  • Dr Élisabeth AVRIL, GAÏA
  • Catherine PECQUART, Centre Beaurepaire
  • Brigitte REILLER, CEID
  • Roger Pierre MUREZ, ADNSEA
  • Animation : Martine LACOSTE (ANITeA) et Karl CERNY (ADNSEA)

Forum 2 : Éducation aux risques liés à l’injection : Réduction des risques et VHC [Déplier/Replier+ d'infos]

Au delà du cadre légal existant, la mise en place d'un travail autour de l'assistance à l'injection vient se heurter à des résistances institutionnelles et humaines... C'est cette question que nous souhaitons aborder.
Lors des premières journées nationales, le constat a été fait à plusieurs reprises d’un manque d’engagement collectif sur des pratiques innovantes, chacun favorisant plutôt des expériences solitaires et clandestines. À l’époque, la question des CAARUD était dans l’actualité de la RDR. Une question était posée : le CAARUD ne peut-il pas être un terrain d’expérimentation alors que le décret CAARUD laisse place à la mise en place d’actions innovantes ?
Deux ans après, nous pouvons faire le constat que peu de projets ont été déposés. La journée du 6 juin organisée par l'AFR sur l’AAI et l’ERLI a confirmé l’envie des intervenants de s’engager sur cette voie. Il semble que les acteurs se sont imposés des limites inconscientes : risques de poursuites judiciaires, de fermeture de structures, peur de la première fois, etc.
Aujourd’hui, nous souhaitons débattre autour des résistances, au-delà de la simple question du cadre légal.

Nous avons fait le choix de remonter dans le temps afin d’étudier les questions que se sont posées les précurseurs de la RDR, questions qui nous paraissent similaires.
Intervention prévue de Jean-Pierre Lhomme, Gaïa

Il nous paraît néanmoins indispensable de définir les contours du cadre légal. Nous restons persuadés qu’au-delà de la question du cadre légal, la mise en place de ce type de projets s’appuie sur la volonté de personnes.
Intervention prévue de Delphine Villain de la DRASSIF

Par ailleurs, il existe des expériences plus ou moins « bricolées » en milieu festif. Pourquoi ce terrain d’intervention permettrait-il davantage l’innovation ? Le bricolage permet-il de définir le cadre ? Comment assurer la reconnaissance de projets expérimentaux ?
Intervention prévue de Yann Granger, Bus 31-32

14h15/16h00 Table ronde 2 : Drogues et cadre légal [Déplier/Replier+ d'infos]

Peines plancher, loi sur la récidive, stage de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants, etc. Les intervenants de la table ronde tenteront d’analyser et d’identifier l’impact de ces nouvelles mesures, tant du côté des structures de RDR que des usagers, mais également de comprendre ce qui fait obstacle au débat sur la politique des drogues en France.
La loi du 31 décembre 1970 est abondamment analysée et commentée dans de nombreux écrits (genèse, analyse des effets de la loi, de ses contradictions, de ses résultats) et, ce, jusqu’à aujourd’hui.
La dépénalisation de l’usage des drogues est une revendication portée par le champ de la Réduction des Risques (RDR). Les propositions de réglementation des systèmes de production, de cession ou de ventes de stupéfiants, généralement regroupées sous l’appellation de légalisation, restent l’apanage des idéologues et des militants politiques libertaires ou partisans d’un libéralisme économique intransigeant. La différence entre dépénalisation et légalisation n’est pas affaire d’intensité des convictions, mais réside l’obstacle de la législation internationale qui se dresse face à toute proposition de légalisation.
Cependant, ni la dépénalisation de l’usage, ni la réglementation de la production et de la cession, n’ont, jusqu’à aujourd’hui, reçu le moindre écho favorable de la part des politiques dès qu’ils se retrouvent aux affaires.

Animation : Béatrice Stambul

Intervenants :

  • Alexandra GRILL, magistrate : La loi de 70 (rappel du cadre et de son application en France) et les nouvelles mesures (peine plancher, stage de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants)
  • Michel Kokoreff, sociologue, maître de conférences à l'université Paris René Descartes et chercheur au Cesames (CNRS-Paris Descartes-Inserm) : Pourquoi le débat public sur les drogues est impossible en France ?
  • Serge Longère, directeur du CAARUD PROSES : Les contradictions entre la loi de 70 et le dispositif réglementaire RdR. Quel impact pour la RdR ? fragilisation du dispositif, baisse de la fréquentation, remise en question des actions, contrôle et pression à l’égard des acteurs, etc.
  • Vincent Benso, étudiant en sociologie (Paris 8), Techno+ : Présentation d’un flyer en direction des usagers-revendeurs.
  • Un porte-parole des usagers de drogues, Fabrice Olivet, ASUD : Quel impact pour l’accès des usagers aux dispositifs ?

16h30/17h30 Plénière de clôture

Avec les représentants des associations organisatrices :
  • AFR
  • AIDES
  • ANITeA
  • ANPREF
  • ASUD
  • Médecins du Monde
  • SAFE
  • SOS Drogues International
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